l'ombre du couloir
Des pas dans le noir, un visage sans lumière,
Des pleures de désespoir, un rire de sorcière.
Rien pour rassurer, rien pour réchauffer,
Juste un long couloir et une maison hantée.
Hantée par les souvenirs, hantée par la mémoire,
Déchirée par le passé, engloutie dans le noir.
La maison pleure pour ceux qui ont souffert,
Dans ses bras, seuls, sans aucune lumière.
Et là dans le long couloir, une petite fille souffre.
Elle pleure lentement, dans la folie s'engouffre.
Rien ne peut la sauver, rien ne peut la consoler.
Elle est malade du corps, qu'il a trop aimé.
Elle s'est faite aimée, contre la Nature.
Celle qui fixe les limites et crée les ordures.
Et la Nature s'est acharnée sur cette enfant solitaire,
Elle l'a froidement aimée, lui ordonnant de se taire.
Désolée, je suppose que vous vouliez du gaie.... mais... c'est tout ce que j'ai trouvé à faire pendant le cours de maths...